Sociopolitique
"clientélisme", origines et actualité
* * *
Cher(e)s internautes qui lisez ceci: ne vous méprenez pas.
Le texte qui suit est très modestement composé dans le but tout autant - égoïste (pour tenter d'y voir plus clair par moi-même) que pour tenter de faire partager mes propres réflexions aussi bien par mes proches et ma petite famille (enfants et petits-enfants, présents et à venir) que par un autre auditoire, ici ou ailleurs..!
D'emblée, soyons "au diapason" des titre et sous-titre : comme tant d'autres usagers d'internet, je me réjouis des facilités offertes par Blogger et par Google pour la réalisation de tout ceci.
Lesdites "études classiques" c'est-à-dire (sans approcher les détails organisationnels propres à chaque système original et,ou officiel, d'enseignement) incluant l'apprentissage et la pratique, en thème et version, desdites "langues anciennes" : hébreu, grec ou latin, ont été complètement abandonnées dans leur aspect OBLIGATOIRE sine qua non depuis lesdites 'Golden Sixties', et laissées au bon-vouloir des parents ou tuteurs des enfants mineurs d'âge, dans la plupart des pays d'Europe occidentale.
Ne me laissez pas sous-entendre que je suis un de ces "vieux barbons" nostalgiques d'un quelconque ordre ancien que je rêverais de voir rétabli de quelque façon que ce soit.
Toutefois je ne suis pas sûr et certain que cette nostalgie n'est pas précisément ce dont rêvent quelques autres "vieux barbons" nostalgiques, détenteurs d'une quelconque autorité dans leur communauté - légitime ou non, allez savoir.!
Revenons à l'actualité de 2016 - et tentons d'imaginer un probable futur à venir.
Grâce à internet et bien entendu - on n e le dira j a m a i s assez..! grâce à Blogger et à Google (n'oubliez pas S.V.P. la sébille disposée pour recevoir vos dons, à la sortie)
Blogger et Google dont les apports technicomédiatiques sont devenus incontournables pour déchiffrer la jungle du Web (la Toile d'araignée) j'ai l'insigne honneur de vous présenter la comparaison qui suit, de laquelle vous - cher(e)s internautes qui lisez ceci, tirerez vos propres raisons et vos propres réflexions.
Cela "va sans dire"..,
aucun parallèle ne sera fait avec les systèmes sociopolitiques à l'oeuvre dans aucun autre pays adhérent aux Traités internationaux actuellement en vigueur : Europe, Commonwealth, O.C.D.E., etc..!
Pour satisfaire une habitude personnelle qui fut pour moi pratiquement (dé)formation professionnelle : voici des éléments d'histoire relatifs à une période de l'Antiquité qui précéda de peu la scission de l'Empire de Rome et l'accession concomitante du Christianisme, au rang de religion d'Etat, par le nouveau promu "César" de l'Empire d'Orient Constantin autoproclamé - notamment., "Sol invictus".
http://www.empereurs-romains.net/emp18.htm
https://www.scribd.com/doc/193679573/Livre2-Christianisme-Romain-en-Questions
Le texte qui suit est très modestement composé dans le but tout autant - égoïste (pour tenter d'y voir plus clair par moi-même) que pour tenter de faire partager mes propres réflexions aussi bien par mes proches et ma petite famille (enfants et petits-enfants, présents et à venir) que par un autre auditoire, ici ou ailleurs..!
D'emblée, soyons "au diapason" des titre et sous-titre : comme tant d'autres usagers d'internet, je me réjouis des facilités offertes par Blogger et par Google pour la réalisation de tout ceci.
Lesdites "études classiques" c'est-à-dire (sans approcher les détails organisationnels propres à chaque système original et,ou officiel, d'enseignement) incluant l'apprentissage et la pratique, en thème et version, desdites "langues anciennes" : hébreu, grec ou latin, ont été complètement abandonnées dans leur aspect OBLIGATOIRE sine qua non depuis lesdites 'Golden Sixties', et laissées au bon-vouloir des parents ou tuteurs des enfants mineurs d'âge, dans la plupart des pays d'Europe occidentale.
Ne me laissez pas sous-entendre que je suis un de ces "vieux barbons" nostalgiques d'un quelconque ordre ancien que je rêverais de voir rétabli de quelque façon que ce soit.
Toutefois je ne suis pas sûr et certain que cette nostalgie n'est pas précisément ce dont rêvent quelques autres "vieux barbons" nostalgiques, détenteurs d'une quelconque autorité dans leur communauté - légitime ou non, allez savoir.!
Revenons à l'actualité de 2016 - et tentons d'imaginer un probable futur à venir.
Grâce à internet et bien entendu - on n e le dira j a m a i s assez..! grâce à Blogger et à Google (n'oubliez pas S.V.P. la sébille disposée pour recevoir vos dons, à la sortie)
Blogger et Google dont les apports technicomédiatiques sont devenus incontournables pour déchiffrer la jungle du Web (la Toile d'araignée) j'ai l'insigne honneur de vous présenter la comparaison qui suit, de laquelle vous - cher(e)s internautes qui lisez ceci, tirerez vos propres raisons et vos propres réflexions.
Cela "va sans dire"..,
aucun parallèle ne sera fait avec les systèmes sociopolitiques à l'oeuvre dans aucun autre pays adhérent aux Traités internationaux actuellement en vigueur : Europe, Commonwealth, O.C.D.E., etc..!
Pour satisfaire une habitude personnelle qui fut pour moi pratiquement (dé)formation professionnelle : voici des éléments d'histoire relatifs à une période de l'Antiquité qui précéda de peu la scission de l'Empire de Rome et l'accession concomitante du Christianisme, au rang de religion d'Etat, par le nouveau promu "César" de l'Empire d'Orient Constantin autoproclamé - notamment., "Sol invictus".
http://www.empereurs-romains.net/emp18.htm
https://www.scribd.com/doc/193679573/Livre2-Christianisme-Romain-en-Questions
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"La plèbe s'est définie pendant longtemps par l'absence de droits politiques. Mais elle n'est pas homogène du point de vue de la richesse. On peut distinguer plusieurs couches sociales dans la plèbe.
Les plébéiens les plus riches
La partie la plus riche des plébéiens, vivant comme certains patriciens, en particulier ceux qui sont les chevaliers. Certains de leurs descendants, qui sont suffisamment riches pour entrer dans les classes supérieures du cens, peuvent espérer faire une carrière politique en suivant le cursus honorum. Parmi eux on trouve, des marchands en gros (les negotiatores), les financiers (argentarii). Ces professions bien que très rémunératrices étaient jugées incompatibles avec la carrière politique. Ils n'est pas rare que ces hommes aient des clients.
La couche moyenne
On y retrouve les membres des 160 métiers spécialisés des artisans de Rome. Parmi eux les artisans. Ce sont des citoyens libres et possèdent souvent des esclaves. Ils se regroupent dans des collèges (associations professionnelles) qui leur servent à défendre leurs intérêts (pour le ravitaillement ou contre les impôts et taxes). Au moment des campagnes électorales, Ils peuvent servir de milices privées pour de riches romains qui veulent se faire élire.
Les prolétaires
Les prolétaires sont ceux qui n'ont que leurs bras pour vivre. Ils sont de petits artisans, ou des ouvriers travaillant au jour le jour. Ils sont généralement qualifiés pour échapper à la concurrence que leur font les esclaves.
Pour leur fournir du travail, les autorités les emploient sur les grands chantiers urbains, la construction des monuments ... Ils bénéficient des distributions de nourriture faites par les autorités ou bien des personnes privées (secours appelés la sportule). Malgré la difficultés de les connaitre, faute de traces archéologiques, on pense qu'ils seraient environ 320 000 à la fin du Ier siècle
Les déclassés
Les déclassés forment la tourbe. Ils vivent de rapines, de crimes et de délits divers. Ils ne survivent que par les distributions publiques de nourriture et de ce que leur rapportent leurs méfaits. Ils sont craints des autorités car ils peuvent rapidement se révolter et sont près à tout pour avoir de quoi survivre. On tente de les faire partir pour peupler des colonies, mais cela a peu de succès.
Les ruraux
Les ruraux représentent environ 90 % de la population totale de la cité (les esclaves comptent pour près de la moitié).
Les ruraux sont en partie des travailleurs agricoles libres. Mais ils ne possèdent pas la terre qu’ils travaillent ou ne disposent que d'une toute petite surface insuffisante pour vivre. Leur travail est dur. Ils sont souvent obligés de partir et ont des dettes importantes envers des prêteurs qui peuvent être leurs employeurs. Le brigandage est important dans les campagnes."
Source:
Comme tout bon gauchiste, il accuse le libéralisme (ou ses variantes: ultralibéralisme et néolibéralisme) alors que contrairement à ses délires, la gauche hongroise n’a jamais été libérale.
La Hongrie a surtout été victime d’une mafia post communiste qui a pillé la Hongrie à son profit. L’oligarchie n’existe que dans un système dirigiste (socialiste). Le socialisme conduit à la mise en place d’un système oligarchie où l’économie st contrôlé par quelques personnes proches du pouvor. Dans un économie de marché libre, il n’y a pas d’oligarchie possible. Pour avoir un système oligarchique, il faut que l’état intervienne dans l’économie.
La Hongrie a souffert de cette oligarchie qui l’a pillé. Il n’a rien de libéral là dedans c’est même le résultat du socialisme. Tout pays socialiste finit par devenir oligarchique.
Le capitalisme de connivence (est quand l’État soutient certaines entreprises, soit qu’il cède à leur pression par corruption, soit que ce soit de sa part une volonté délibérée à des fins politiques) est le résultat de l’étatisme et n’a pas grand chose avoir avec le « vrai » capitalisme ou avec le libéralisme. La gauche était une mafia post communiste qui a pillée la Hongrie. Fidesz a détruit le système oligarchique de la gauche pour en créer un nouveau composé de proches du pouvoir qui pillent la Hongrie.
Oui, la gauche a pratiqué des privatisations mais il s’agissait pas de libéralisme mais de pillage: on vendait pour une bouchée de pain les entreprises nationales à des amis proches du pouvoir.
La gauche au pouvoir avait un seul but: s’enrichir. Peut être que pour cet « économiste », libéralisme = rechercher à s’enrichir un maximum mais ce ne p’est pas cela le libéralisme qu’il se renseigne un peu sur ce qu’est le libéralisme.
Quand aux dits « libéraux » hongrois, ce sont clairement des sociaux libéraux. Le social libéralisme est du socialisme « pragmatique », c’est dans certains pays, la gauche s’est rendu compte du désastre économique qu’est le socialisme alors elle a évoluée en un socialisme intégrant différents éléments libéraux. En gros, l’idée principale c’est que pour pouvoir redistribuer les richesses, il faut en créer. Lisez les grands noms de ce courant et vous verrez par vous même que ce sont des ardents défenseurs de l’état providence. Les sociaux libéraux sont des gens qui veulent
un état providence qui puisse fonctionner tout en essayant de préserver les entreprises.
Le mot « néolibéralisme » n’existe pas, ce mot ne veut rien dire, il n’a aucun sens. C’est l’exemple type d’un anti-concept (au même titre que ultralibéralisme). Personne ne se dit néolibéral. Demandez à quelqu’un qui utilise de ce terme néolibéral qu’est ce que cela veut dire ?? quel est la définition ?? Dans bcp de cas, il en sera totalement capable et même s’il arrive, sa définition sera différente de celle d’une autre personne employant aussi ce terme. Demandez à dix personnes leur définition du néolibéralisme, vous aurez de grandes chances d’avoir dix définition différentes.
Même s’ils ne sont pas d’accord entre eux sur la définition de ce mot, un certain nombres de personnes font diront que c’est un mouvement du début des années 80. Pourtant, le mot néolibéral vient de la fin du 19 siècle et a été utilisé tout au long du 20 siècle même s’il est vrai qu’il a été grandement popularisé par les antilibéraux depuis vingts ans. Les antilibéraux utilisent de ce mot néolibéralisme (tout comme ils utilisent du mot ultralibéralisme) car le mot libéralisme a une certaine connotation positive en tout cas dans sa dimension politique. Un certain nombre de principes fondateurs de l’état de droit et de la démocratie (que l’on appelle démocratie libérale) découle du libéralisme (politique). Voilà pourquoi les antilibéraux pour critiquer le libéralisme préfère utiliser d’autres termes comme néolibéralisme (qui sous entend une déformation du libéralisme) ou ultralibéralisme (qui sous entend un extrémisme).
L’avantage avec le mot néolibéralisme c’est qu’on peut utiliser ce mot à tort et à travers, on peut utiliser ce mot pour désigner tout ce que l’on veut. De toute facon , tout ce qui va mal c’est de la faute du méchant néolibéralisme (même si l’on sait pas trop ce que c’est). Je trouve cela pathétique.
En général, avec les gens qui employent le mot néolibéralisme: ce sont soit des antilibéraux qui ne changeront pas d’opinions et qui sont de mauvais soit des gens ignorants (ignorance qui est totalement compréhensible étant donné le climat antilibéral de la France) soit des gens qui utilisent ce mot car cela fait vendre.
Il y a même des gens utilisant le mot néolibéralisme qui vous disent qu’il est impossible de définir ce mot .
Si vous demandez aux gens de dire ce sont qui les néolibéraux, là aussi leurs réponses sont très floues. Même si la plupart vous diront que Tatcher et Reagan sont des piliers du néolibéralisme, en général, pour le reste ils ne sont pas d’accord d’entre eux. Une bonne partie disent aussi que Friedman était un néolibéral (sans doute parce que c’est l’économiste libéral le plus connu du 20 siècle, en général, le seul économiste qu’ils connaissent) . Une bonne partie des antilibéraux utilisent le mot néolibéralisme croyent que l’école néoclassique est néolibéral montrant toute leur ignorance de l’économie et de la pensée économique. J’ai déja vu des gens disant que Keynes était un néolibéral
Je reconnais parfaitement que la gauche hongroise n’a jamais été composé de gens pétris d’idéaux socialistes, social libérales ou même de gauche mais qu’ elle était composée d’anciens communistes avides de pouvoir et d’argent. Mais ce n’est pas pour cela que l’on peut les accuser d’être libéraux car n’en déplaise à Zoltán Pogátsa, le gauchiste, ce n’est pas du tout le cas.
Je ne suis même pas sûr qu’ils peuvent être considérés comme des politiciens, ce sont plutôt des mafieux.
Tout politicien pratique la démogagogie. Oui, Orban pratique la démagogie maisc’était aussi le cas de la gauche au pouvoir. Bien sûr, il y a une différence de degré.
» Hayek et la critique de l’économie planifiée de l’école autrichienne sont alors devenus populaires » Ha bon ? Pas mal d’économistes ne connaissent même pas l’école autrichienne. Friedman et le monétarisme sont bien plus populaires et bien plus connu qu’Hayek (en tant qu’économiste libéral). En plus, on peut difficilement nier le fait que les idées d’Hayek n’ont jamais été appliqués. Par exemple, il préconisait la suppression des banques centrales. Il s’est opposé à l’euro.Le courant (ultra dominant) en économie est la pensée néoclassique (pensée qui est elle même composé de plusieurs courants très différents). Or, l’école autrichienne s’oppose à la pensée néoclassique. Rien que cela montre à quel point cette école est marginale.
Attention, bcp d’économistes sont favorable à l’interventionnisme publique (cela ne veut pas dire qu’ils sont favorable à l’économie planifiée, au contraire).
La plupart des économistes reconnaissent que quand l’état intervient sur le marché, il faut mieux une intervention indirecte (comme une taxe ou une subvention) qu’une intervention directe (comme la réglementation des prix) qui est en générale un désastre.
On peut parfaitement être favorable à l’interventionnisme public et être contre l’économie planifiée. Il est important de ne pas confondre les deux. En plus, il y a suffisamment d’exemples pour illustrer le désastre de l’économie planifiée et de la la réglementation des prix.
Sur Hayek, il avait prédit la crise de 29 en 1927 tout comme des économistes autrichiens avaient prédit la crise de 2008. https://www.youtube.com/watch?v=Xh_cfcO5WFU
L’auteur de l’article ne semble n’avoir jamais discuter avec des électeurs traditionnels du Fidesz.
Cet article n’a aucun intérêt: Zoltán Pogátsa est bien trop aveuglé par son idéologie pour pouvoir présenter une analyse crédible. En gros, pour lui, ce qui est la cause de l’arrivée au pouvoir du Fidesz, c’est ce qu’il considère comme le mal absolu responsable de tous les maux: le (néo)libéralisme. Si on écoute Zoltán Pogátsa, il aurait suffi que la gauche mène une vraie politique de gauche et elle serait resté au pouvoir indéfiniment et la Hongrie serait le paradis terrestre. Je lui suggérais juste de regarder la situation économique du Vénézuela (le FMI prédit une inflation en 2016 à 720%), elle est catastrophique. Cet article montre surtout à quel point il est idéologue.
Cet article n’est guère étonnant vu que pour Zoltán Pogátsa, tous les problèmes viennent du (néo)libéralisme. Zoltán Pogátsa serait capable de dire que l’échec du communisme est dû au néolibéralisme.
Zoltán Pogátsa doit arrêter de prendre ses délires pour des réalités. Je lui conseille vivement d’aller vivre au Vénézuela, le paradis chaviste. Cela nous éviteras de devoir écouter toutes les débilités qu’il dit sans cesse.